La salade César n’a rien à voir avec Jules ....son nom viendrait plutôt de Caesar Cardini, un italien émigré aux États- Unis , propriétaire de restaurant qui avait dans l’idée de contourner la prohibition. (Jusque la , ça me plaît ! ) . Le 4 juillet 1924, alors que son approvisionnement n’avait pas été livré, il aurait inventé cette salade avec les moyens du bord pour servir sa clientèle. Est-ce une légende urbaine ou la réalité ? Si vous avez mieux, je suis à votre écoute.....Toujours est-il que la salade César me plaît , son assaisonnement est corsé et lui confère un goût unique. Essayez....et rien ne vous empêche, comme moi (et notre bon vieux Caeser !  ) d’être inventif et d’y rajouter vos propres inventions.

De toute façon, tout est dans la sauce !

Ingrédients :

- salade romaine

- croûtons frits à l'huile d'olive

- filets de poulet

- tomates cerises

- copeaux de parmesan

- quelques cacahuètes pilées pour la déco...

pour la sauce :

- 1 œuf dur

- 1 jus de citron (ou un demi selon votre goût et la quantité cuisinée)

- des câpres (vous dire combien est délicat, car j’adore ça donc j’en abuse...)

- parmesan rapé

- worcertershire sauce (j’adore son goût mais je maudis son orthographe ! )

- 1 gousse d’ail

- huile d’olive

- sel et poivre

- moutarde américaine (de préférence)

- quelques anchois (facultatif mais pas mal du tout)

Préparation :

Je préfère servir cette salade sur assiette, ça fait tout de suite ambiance « restaurant » et c’est plus présentable que le saladier, non ?

Faites griller le poulet dans un peu d'huile d'olive. Emincez-le si ce n’est pas déjà fait.

Déposez la salade sur l’assiette puis les tomates, les croûtons et le poulet. Parsemez de copeaux de parmesan.

Pour la sauce, mixez tous les ingrédients dans le bol du robot et nappez -en la salade. Saupoudrez de quelques cacahuètes grillées et salées, pilées....

C’est simple et on peut décliner cette salade avec de l’avocat (qui passe très bien avec la sauce) ou même des crevettes. OK, les puristes vont hurler mais c’est bon alors on s’en fout !

Merci CAESAR !